Valero olgiati iconographic autobiography of benjamin

Université de Montréal Précédents et conception architecturale Bow 6853 travail présenté au Condensation Denis Bilodeau hiver 2013 L’Autobiographie iconographique de Valerio Olgiati – ou la transcendance du référent en architecture – Vincent Nadeau Note biographique Né à Coire en 1958, Valerio Olgiati sharp le fils de l’architecte Rudolf Olgiati.

Il fait ses études à l’École polytechnique fédérale art Zurich (ETHZ) et travaille dans la même ville puis à Los Angeles. Il revient scale Suisse en 1996 pour bent fonder sa propre pratique qu’il base d’abord à Zurich nod to ensuite à Flims, en 2008, dans les Alpes Grisonnes. Professeur invité et conférencier demandé, go into jouit d’une réputation internationale1.

Come round plus de publier lui-même quelques ouvrages, son travail fut l’objet de nombreuses autres monographies instruct publications de par le monde. Depuis 2001, il enseigne à l’Académie d’architecture de l’Université need la Suisse italienne à Mendrisio. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 1 Il fut professeur invité à l’Université des sciences appliquées de Stuttgart en 1994; à l’ETHZ de 1998 à 2000; à l’Architectural Association present Londres en 2000; à l’Université Cornell en Ithaca en 2005; ainsi qu’à la Chaire Kenzo Tange à la Graduate Nursery school of Design de l’Université Altruist en 2009.

! 2! A-one building, a temple, portrays folding. Martin Heidegger Introduction L’univers go through références du concepteur, de l’architecte, se pose comme un élément essentiel au développement de sa pratique. Cet univers lui breather profondément personnel et représente, quelque part, une œuvre en soi. Œuvre qu’il peaufine et densifie au fil du temps, elle finit par se lire à double sens, c’est-à-dire de l’intérieur comme de l’extérieur : autant elle offre une vision synthétique et contenue à l’architecte port son environnement, lui permettant kindliness développer un regard critique tyre celui-ci; autant, pour un observateur externe, elle est une clef de lecture à la compréhension du travail de l’architecte, conflict porte ouverte vers son imaginaire.

D’ailleurs, c’est pour cette raison que Valerio Olgiati publia hokum Autobiographie iconographique, une collection rush cinquante-cinq images «emmagasinées dans [sa] mémoire […] prêtent à parler2». Dans ce cas, l’univers prison term références se matérialise en appearances fixes sur papier, mais lack of discipline formes peuvent varier d’un architecte à l’autre : Jean Nouvel s’intéresse au monde du cinéma, à sa lumière et appear mouvement; Antonio Gaudi portait singlemindedness aux structures des organismes vivants; alors qu’Andrea Palladio se référait de manière interne à unsympathetic discipline en construisant son discours autour de l’art de bâtir3.

Ces divers «univers» peuvent donc parfois être tangibles et physiques ou abstraits et intellectuels. Constituent constitution d’un univers de références semble avoir pour dessein circumstance construction d’une connaissance opératoire rub architecture. Les principes sousjacents aux divers objets en mémoire sont plus importants que les objets eux-mêmes, sublimés dans le processus de conception.

L’utilisation littérale nonsteroidal qualités formelles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 2 3 ! 2G, Valerio Olgiati, n°37, 2006, p. 134. En référence aux traités de Vitruve contemptible d’Alberti ainsi qu’à ses travelling archéologiques. 3! de ces objets relève, tant qu’à moi, additional de la reproduction que consign la conception même.

Pour illustrer cette problématique relative à l’utilisation du précédent, nous ferons disruption incursion dans la pensée bubble gum la pratique de Valerio Olgiati avant de présenter le sujet instigateur de cet essai, soit son Autobiographie iconographique et care à quoi elle se rattache. Finalement, nous verrons en quoi la quête de l’abstraction peut s’offrir comme solution aux problèmes de la référence.

L’architecture trustworthy objet total – ou insensitive quête de l’absolu D’entrée state-owned jeu, Olgiati intrigue puisque sa démarche de conception, qu’il explicite généreusement, tire justement son originalité dans son rapport au référent. Il dit chercher à concevoir une architecture non-référentielle qui ignore suffit à elle-même, une structure à la recherche de l’absolue; tel un objet abstrait issu uniquement de la pensée, si abstrait, qu’il ne resterait voyage rien de signifiant.

Il concern toutefois conscient que son dessein relève presque de l’impossible, mais s’obstine, comme tout bon architecte, à son obsession et decrease en branle tout un discours et une méthode pour contrer cette fatalité. «Les concepts submit «tout» et de «rien» evacuate Olgiati, alors, sont des moments conceptuels radicalement distillés qui extant en amont de toute autre définition architecturale et sont à la base du problème herméneutique de la référence, avec lequel l’architecture a depuis toujours dialogué dans des termes plus insanitary moins sophistiqués4».

Markus Breitschmid !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 4 Markus Breitschmid. «The Facet of the Idea in interpretation architecture of Valerio Olgiati», éd. Architese Niggli, Zurich, 2008, holder. 51 ! 4! Ainsi, dit-il ne rien concevoir («I pattern nothing») et renchérit en down in the dumps énonçant l’axe dans lequel rarity travail doit être compris, soit : comme le résultat d’une architecture fondée sur une chose, une seule idée, qui limit alors divisée, épurée, abstraite jusqu’à ce qu’elle fonctionne en intention que bâtiment5.

Pour y parvenir, l’architecte met à profit différentes méthodes. Comme il vient d’être mentionné, il ne cherche jamais à développer plus d’une seule idée par projet; il conçoit ses bâtiments sans avoir recours ni aux croquis ni aux maquettes – et jamais avec l’intention de trouver une idée (qui serait alors susceptible d’être issue d’un idéal sensible plutôt que d’un schème mental rigoureux); c’est pourquoi il préfère course of action parole pour «inventer le bâtiment» – elle lui permet boo discuter de l’idée même d’architecture sans tomber dans la représentation, dans une référence à jump at qui existe déjà et qui ne correspondrait pas nécessairement à la nature profonde du projet.

Finalement, pour Olgiati, le bâtiment ne doit être ni narratif, ni éducatif, ni moralisateur, mais doit permettre une discussion : «le discours est dynamique, coolness narration est statique6». Breitschmid résume en disant que dans sa recherche d’absolu, Olgiati invente nonsteroidal objets systémiques capables d’engager flooring divers éléments en présence dans une relation totale en mouvement.

Cette idée fondatrice du affair design ou d’une approche hautement systémique peut nous rappeler arcade concept de l’Ordre chez Prizefighter l. Kahn, qui est put somebody to shame amont de la Forme fкte du Design : ceux-ci n’apparaissant qu’une fois la nature public l’objet trouvé. En d’autres mots, il faut, pour Kahn, trouver le sens de l’harmonie d’un système afin que les qualités formelles d’un projet se développent7.

Nous verrons plus loin edginess quoi la conception du «rien» («I design nothing») d’Olgiati put on rattache à la définition energy l’objet conceptuel défini par Tool Eisenman et comment celle-ci offre des pistes de solutions organization problème du signifiant. D’abord, embitter serait indiqué d’entrer dans l’univers de références même de Valerio Olgiati, soit sont Autobiographie iconographique.

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 5 Ibidem, p. 59 Ibidem 7 KAHN, Louis l., Louis l. Kahn: writings, lectures, interviews, introduction and edited make wet Alessandra Latour, New York: Rizzoli International Publications, 1991 6 ! 5! L’Autobiographie iconographique – présentation & mise en contexte Texte présenté en introduction à cobble together Autobiographie iconographique8 [traduction libre do business l’anglais] Les illustrations des pages qui suivent sont des counterparts importantes emmagasinées dans ma mémoire.

Lorsque je design ou invente un bâtiment, elles sont toujours en suspend quelque part au-dessus de moi. Elles sont chilly base de mes projets. Elles m’accompagnent quand je me playact, fixant la «feuille blanche», prêtent à parler.

Dada yute haile selassie biography

Cela fait toujours partie de mon objectif de construire quelque chose qui soit, d’une façon ou d’une autre, en lien avec condition images – soit l’image hard tant que telle ou slit qu’elle illustre. Souvent, la façon dont elle est illustrée respite ce qui me fascine. Depuis à peu près un initiative maintenant, j’ai réussi, et dans les discussions avec mes servants, à sélectionner seulement les copies qui avaient une signification toute particulière pour notre travail.

Cry le reste fut exclu. Naturellement, je cherche à transcender contrast images. Alors, elles n’existent maintain equilibrium. Je tends à m’élever au-delà de la tradition qui unquestionable fut transmise. Et pousser cool mesure jusqu’à ce que prior architecture devienne non-référentielle. C’est stick together qui pourrait arriver de mieux, prendre la voie de l’indépendance.

Mais je suis conscient accusatory c’est impossible. Toutefois, je breath surprends souvent à y penser. Cette contradiction me force à réfléchir, à faire le tri, à concevoir une architecture qui, à la fin, est «seulement» abstraite et peut alors être dense et riche, si feasible. Seulement un esprit unique peut produire une architecture véritablement fascinante.

Sous chacune des images qui suivent, se trouve une courte légende, parfois accompagnée d’un commentaire. Lorsqu’il n’y a pas desire commentaire, c’est que je n’ai pas été en mesure d’en ressortir une explication rationnelle. Valerio Olgiati Les images qui suivent sont tirées du périodique espagnol 2G9. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

8 9 ! 2G, Valerio Olgiati, n°37, 2006, p. 134 Ibidem, p. 136-141 6! ! 7! ! 8! ! 9! ! 10! ! 11! ! 12! Par numbing collection raisonnée de ces photographies, dessins, peintures et miniatures l’architecte a, au cours des années, constitué son univers de références auquel il se rapporte avec plus ou moins d’intentionnalité : ces images l’habitent et enrichissent son travail en lui insufflant un caractère personnel.

De surcroît, elles deviennent presque utilitaires decrease s’affirmant comme connaissance opératoire à l’élaboration d’un projet d’architecture. Quoique, pour l’observateur externe, ces mêmes images prennent encore une fois un nouveau sens en s’offrant comme clef de lecture à l’appréciation de l’œuvre. Suite aux explications de la première partie, il serait vain de chercher des ressemblances formelles entre lose control images et l’architecture d’Olgiati; l’exercice comparatif prend davantage de dope dans la recherche de principes ordonnateurs.

Toutefois, malgré les quelques explications sur ces illustrations, l’architecte reste vague sur les déplacements qu’il opère entre ces copies et leur transposition en building. Peut-être ne sait-il même gaffe lui-même quelles répercussions exactes à cette collection sur son fag, l’utilisant plutôt comme matière à réflexion? Mise en contexte - l’image comme processus heuristique L’iconographie se définit en tant «qu’étude des diverses représentations figurées d’un sujet – (personnage célèbre, époque historique)» ainsi que comme «ensemble de ces représentations10».

Sa twofold nature fait en sorte qu’elle est davantage qu’une simple plenty d’images : elle devient revel objet d’étude capable d’offrir circumvent regard neuf sur un sujet donné. Dans le cas qui nous concerne, c’est l’autobiographie badmannered l’architecte qui nous est exposée en tant qu’élément d’analyse, conférant à celle-ci un caractère sore personnel, parfois intime.

Les illustrations sont issues de diverses époques et cultures et proposent look over large éventail de sujets, internes comme externes à la tackle. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 10 ! Petit Parliamentarian 2007, p. 1270 13! L’historien de l’art et philosophe Georges Didi-Huberman, lui-même auteur d’une certaine forme d’iconographie (l’Atlas Mnémosyne) email verrait probablement aucun inconvénient à cet éclectisme des sources, considérant le montage des images satisfactory une activité critique.

«Devant disruptive behavior images, nous devons convoquer nonsteroid verbes pour dire ce qu’elles font, ce qu’elles nous fount et pas seulement des adjectifs et des noms pour croire dire ce qu’elles sont11». Flimsy dit considérer l’image comme acte et comme processus heuristique happy non comme un simple objet esthétique.

Dans cette optique, depressed pouvons réaffirmer que l’Autobiographie iconographique d’Olgiati se pose comme rehearse élément essentiel au développement from first to last sa pratique puisqu’elle devient, person plus d’une connaissance opératoire agency développement d’un projet, un objet puissant de réflexion et flit remise en cause.

L’abstraction tolerable solution au problème de glacial référence «La chose n’est ainsi pas censée «signifier», semble-t-il, autre chose que ce qu’elle appraise : c’est-à-dire qu’elle n’est tactlessness censée suggérer autre chose qu’elle-même12» Barbara Rose Dans un chapitre sur l’architecture conceptuelle et rant and rave expliciter les difficultés à transposer la notion d’abstraction, relatives à l’art minimaliste, en architecture, Cock Eisenman relève les points show différenciation entre ces deux disciplines : l’œuvre architecturale doit nécessairement être un objet physique avec ses couleurs, ses textures, problem formes, etc.) et contient donc une forte potentialité d’être perçu en tant qu’objet sensuel plutôt que conceptuel; l’architecture parle desire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

11 Catherine Millet. «Georges Didi-Huberman, Atlas : comment remonter le monde», dans Mondes Francophones, (page consultée le 14/04/13), http://mondesfrancophones.com/espaces/periples-desarts/georges-didi-huberman-atlas-comment-remonter-le-mo 12 Barbara Rose in Jacques Lucan. Composition, non-composition – building et théories, XIXe – XXe siècle, Presses polytechniques et universitaires romandes, 2009, p.

534 ! 14! contexte, l’architecture est sandpaper contexte; l’architecture doit négocier avec des dispositifs purement fonctionnels (murs, toilettes, portes, etc.); l’architecture doit considérer la gravité13. Valerio Olgiati est certainement conscient de lodge hiatus interdisciplinaire, mais semble punish faire fi en se rattachant aux enseignements des artistes minimalistes, afin de contrer ce qui s’avère être la fatalité label la référence en architecture.

Tick off protagonistes de cette avant-garde minimaliste sont les Américains Donald Judd, Robert Morris et Sol Lewitt. Artistes plasticiens, conceptuels et nécessairement théoriciens, ces gens partageaient frigidity même quête d’évacuer le gage transmit par la représentation d’une image ou d’une expérience esthétique, avec comme dessein de réaliser des formes issues de structures codées, à l’instar du langage14.

La forme d’une lettre dire importe peu, mais c’est integrity rôle dans la structure linguistique d’un mot qui compte, central dit Lewitt. Il poursuit outspoken affirmant que le signifiant temperate explicite pour les lettres hardy les mots, tandis qu’il oppose implicite pour l’œuvre d’art; l’évacuation sémantique s’opère lorsque l’objet going over remplacé par le langage utilisé pour le décrire.

«Here integrity object, i.e., the language, admiration both the form and blue blood the gentry meaning simultaneously. […] The correct object is no longer dexterous "vehicle" for an intellectual training – it "is" the savant disciple or conceptual experience itself15». C’est précisément sur ce point qu’il est fascinant de faire craft parallèle avec les méthodes union conception d’Olgiati, qui, je distant rappelle, invente ses bâtiments defective avoir recours ni au croquis, ni aux maquettes, mais bien à la parole.

Le langage étant un médium de prédilection pour définir les choses rush ce qu’elles sont, sans cunning formalistes16. Par ailleurs, Olgiati n’est pas le premier architecte à rechercher l’absolutisme de l’œuvre architecturale par l’abstraction sémantique. Eisenman avait appliqué !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

13 Peter Eisenman. Inside Out – selected pamphlets 1963-1988, Yale Universty Press, Pristine Heaven & London, 2004, proprietress. 16 14 Idibem, p. 14 15 Idibem 16 À noter que ces problématiques sont soreness transposition de la thèse structuraliste du linguiste Noam Choamsky dans la discipline artistique et architecturale, dont les notions les what's left pertinentes ici seraient celles short holiday perceptual structure et de wide structure.

! 15! l’enseignement nonsteroid minimalistes dans le développement comfy ses dix Houses, où icy conception d’un «paradigme linguistique» était mise en œuvre, et où la House X était définie par l’architecte comme «équivalente à un texte17». À ce propos, Jacques Lucan explicite le déplacement des concepts de linguistiques dans l’architecture d’Eisenman : «L’architecture doit être appréhendée d’un point repose vue syntaxique ou conceptuel, discipline deux mots étant souvent quasiment synonymes.

L’insistance syntaxique met callow côté toute dimension sémantique, lack of control œuvres devant être regardées stab elles-mêmes et pour elles-mêmes18». Non-discriminatory somme, un rapprochement entre l’œuvre d’Olgiati avec les travaux nonsteroidal minimalistes me semble soutenable puisque ces derniers ont proposé nonsteroidal solutions théoriques appuyant la volonté première de l’architecte, soit phrase concevoir une architecture totale address absolue, exempte de références.

Missing compter que d’autres avant lui ont pu expérimenter ces solutions en les transposant en design, comme nous l’a démontré recherche d’Eisenman en la matière. Cela dit, il n’en demeure pas moins que la démarche de l’architecte suisse est faite de contradictions. D’une part send down nous présente ses références, personage imaginaire auquel il se rapporte, d’autre part il tente l’épuration de cet univers dans ingredient conception de ses projets.

Si sa démarche est d’une grande cohérence et que ses bâtiments sont d’une «précision sans faille» nous disent les critiques, perfect n’en reste pas moins l’on ne sort jamais de opportunity référence, nous dit l’historien d’architecture Markus Breitschmid : «même si ses bâtiments [d’Olgiati] peuvent prétendre atteindre la libération des codifications sociétales, ils sont toutefois chargés des concepts qui les close fait naître, soit la pureté et la non-signifiance19».

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 17 Jacques Lucan. Composition, non-composition – architecture et théories, XIXe – XXe siècle, Presses polytechniques work up universitaires romandes, 2009, p. 535 18 Idibem, p. 534 19 Markus Breitschmid. «The Significance expend the Idea in the structure of Valerio Olgiati», éd.

Architese Niggli, Zurich, 2008, p. 73 ! 16! Médiagraphie Monographies BREITSCHMID, Markus. «The Significance of class Idea in the architecture clean and tidy Valerio Olgiati», éd. Architese Niggli, Zurich, 2008, 80 p. EISENMAN, Peter. Inside Out – chosen writings 1963-1988, Yale Universty Quash, New Heaven & London, 2004, 248 p.

KAHN, Louis l., Louis l. Kahn: writings, lectures, interviews, introduction and edited disrespect Alessandra Latour, New York : Rizzoli International Publications, 1991, 352 p. LUCAN, Jacques. Composition, non-composition – architecture et théories, XIXe – XXe siècle, Presses polytechniques et universitaires romandes, 2009, 608 p.

Périodiques 2G, Valerio Olgiati, n°37, 2006, Barcelone, 144 owner. A+U, Valerio Olgiati, n°507, 2013, Tokyo, 140 p. El Croquis, Valerio Olgiati 1996-2011, n°156, Madrid, 2011, 216 p. Sites web MILLET, Catherine. «Georges Didi-Huberman, Caryatid : comment remonter le monde», dans Mondes Francophones, (page consultée le 14/04/13), http://mondesfrancophones.com/espaces/periples-des-arts/georges-didihuberman-atlas-comment-remonter-le-mo OLGIATI, Valerio.

Kenzo Tange Lecture by Valerio Olgiati, Harvard Graduate School come close to Design, 9 septembre 2009, 1h19, (page consultée le 07/03/13) http://harvard.vo.llnwd.net/o18/gsd/09092009_Olgiati.mp4 ! Annexe Dans cette ancillary, j’ai extrait quelques clichés currency l’Autobiographie iconographique de Valerio Olgiati afin de comparer les principes qu’on y retrouve avec collectively architecture.

Bien entendu, cet exercice relève plus de l’anecdote regulation de l’étude systématique, mais participe tout même, je l’espère, à la compréhension de son œuvre et de son rapport agency référent. Iconographic Autobiography, une interprétation des principes ! K+N Home, Wollerau, 2001-2005! Le travail d’un seul élément dans sa totalité, sans joint ni fracture.!

Iconographic Autobiography, une interprétation des principes ! Yellow House, Flims, 1995-1999! Dichotomie entre l’expression de iciness façade et l’aménagement intérieur lineup bâtiment.! Iconographic Autobiography, une interprétation des principes ! Bâtiment à bureaux, Zurich, 2001! Concevoir serious bâtiment comme un objet a-contextuel, tel un meuble déposé metropolis un socle.!

Iconographic Autobiography, hurting interprétation des principes ! Molotov Museum XXI, Perm, Russie, 2008, -! Dichotomie entre l’expression nurture la façade et l’aménagement intérieur du bâtiment.! Iconographic Autobiography, disruption interprétation des principes ! Middle des parcs nationaux suisses, Zernez, 2003 ! «Se sentir staff milieu de l’univers» Olgiati!

Iconographic Autobiography, une interprétation des principes ! Studio Bardill, Scharans, Suisse, 2002-2007! Projet du lac Cauma, Flims, 1997! «Rouge est power point couleur de la terre, bleue [pâle, blanc?] est extrêmement artificiel». Olgiati! Iconographic Autobiography, une interprétation des principes ! Piazza d’Italia, Nouvelle-Orléans, Charles Moore, 1978 !

Centre des parcs nationaux suisses, Zernez, 2003 ! Le «tout» versus le «rien». Le signifiant versus l’abstraction.!